On est pas parti
J'aurais bien mis une photo de son sourire édenté mais il n'est pas compliant pour un sou !
17h00 alors en attendant demain on est allé faire une balade; Dire qu'on était parti pour l'Ouzbekistan et qu'on se retrouve à marcher dans la neige des Alpes.
Ah on est mal ! on est mal !
Qu'il soigne sa dent et que le sourire revienne.
RépondreSupprimerEn attendant si vous pouviez vous alléger ..... les marches arrières ne sont pas maitrisées avec tout ce poids . J'ai vu Stanley à la manœuvre !-)
Un ami de 40 ans
Encore un jaloux. Dans 15 jours nous serons des pros de la manœuvre de moto chargée
SupprimerEst ce que c'est la dent qui avait reçu la baume d'un 4.20 sur le lac de Carcans Maubuisson ?
RépondreSupprimerPendant ce temps là la vague bleue a laissé des traces ; ambiance à Toulouse ....
oui pour la dent. c'est pas très grave mais tu connais Patrick; pas question de partir avec ne serait-ce qu'un défaut.
RépondreSupprimerpour Toulouse on imagine l'ambiance. Décidément il y a des votes que je ne comprendrai jamais.
RépondreSupprimerSans la dent......sans la barbe....non c'est trop pour moi ! je ne veux rien voir....enfin si un peu quand même. Bonne route les ZZtop (bon d'accord sans la barbe) et gaffe à vos fesses et le reste. La frangine
RépondreSupprimerLe voile est levé.
RépondreSupprimerDans un commentaire précédent, l'une des lectrices questionnait les finalités du voyage entrepris.
Après 48h d'immobilisme, qu'on aurait pu d'abord penser comme dicté par le soucis de réaliser des économies - en étant logés et nourris chez l'habitant - il convient de réviser cette hypothèse hâtive.
L'un des voyageurs, que l'on ne citera pas car il tient à "n'avoir aucun fil a la patte" en contribuant à ce blog, est d'abord arrivé au terme de la première étape dans un état de décomposition musculaire et psychologique avancée. Les raisons évoquées : stress sur l'autoroute, vent violent, douleurs des épaules, du dos, des cuisses...S'agissant d'un garçon qui ne consomme aucun d'alcool, il n'aura même pas pu, durant la longue soirée qui suivit, trouver dans les arômes du Génépi local, matière à panser ses souffrances et à restaurer un semblant de bien être social.
Dès le lendemain, le sort a continué de s'acharner sur lui par un incident qui a frappé l'une des extrémités de son tube digestif, la bouche en l’occurrence. Normal, penserons certains, s'agissant du début de son trip. La crainte que d'autres pourraient ressentir (pour le connaître depuis 40 ans au moins) serait que les étapes ultérieures du voyages, et leurs futurs déboires de santé, deviennent autant d'occasions d'une véritable leçon d'anatomie du système digestif, pour finir en en lieu souvent le siège (sans jeu de mots) de crises aiguës chez lui en période de tourments...
Bref, on peut le dire maintenant : le voyage prend une orientation résolument humanitaire.
De symptôme en symptôme, dans un huis clos lourd et ingrat entre soignant et soigné, s'instaure peu à peu une charge de travail à côté de laquelle le travail d'équipes humanitaires dans les camps de réfugiés feront bientôt figure de séjour de loisir...
Mais bon, on a la fibre de la générosité ou on ne l'a pas...
O anonyme de Vif, c'est pas bien de se moquer de l'Homme...
Supprimerhé bé....1h de retard au départ faute d'un casier mal embouché....une marche arrière quelque peu difficile....une dent au pt'it déj.....beau scénar pour les rois du rire ! Allez les zz top (mais sans la barbe) : "Its a long way to Samarkande". Bonne route tout de même à vous 2. la frangine
RépondreSupprimerJe conseillerai à papy de faire un dentier de rab au cas ou...
RépondreSupprimerComment qu'on dit dentier en turc? On ne sait jamais...