Pas moins de 3 noms différents suivant les panneaux, les guides ou les cartes pour designer cette ville enfoncée au milieu d'un golfe très profond. Au milieu de la baie, un petit fortin, pose sur un roc étroit et bas, veille sur la ville. De gros bateaux minéraliers sont à quai à seulement 500 m des touristes. Aujourd'hui lundi de pâques tout le monde est de sortie. Les terrasses des cafés sont bondés, malgré le temps couvert il fait doux, 21°. Parmi les nombreux magasins on trouve un grand nombre de boutiques de komboloï. Cet objet usuel en Grèce est très utilisé par les hommes âges. Ce n'est pas un objet rituel, contrairement au chapelet coranique ou catholique; en faisant tourner les perles au creux de la main, il permet, parait-il, de se détendre. Il y en a de toutes sortes et à tous les prix. Il y a même un musée du komboloï.
Je continue ma promenade, les rues sont étroites et raides, il faut monter de nombreuses marches jusqu'aux ruines du fort byzantin perché tout en haut et dominant la ville de ses murailles fortifiées. La vue de la ville vaut largement la montée. Le guide ne s'était pas trompé. Demain j'irai voir les ruines d'Épidaure toute proche.
Décidément, le voyage mystique continue avec ce passage chez Nauplius, fils de Zeus...
RépondreSupprimerBonne route.
Môssieur Bip